St François de Sales dans le Grand Revard

On aime ces paysages sous la neige

C'est à Saint-François de Sales que nous nous sommes rendus le 18 février. Il n'y a pas eu de nouvelle précipitation neigeuse, mais la température nocturne a maintenu le fragile manteau neigeux du domaine du Grand Revard.

Malgré le temps nuageux, les conditions sont bonnes. Les groupes se forment spontanément. Tandis que certains raquetteurs assurent en empruntant les parcours balisés, d'autres, désireux de renouer avec la raquette en milieu sauvage, choisissent un itinéraire non tracé.

En sous-bois, la neige est douce et légère. Les arbres, habillés de givre, sont magnifiés et dignes des décors de fêtes de fin d'année.

Après la pause pique-nique dans une clairière, un groupe s'est dirigé vers la croix des bergers, pour revenir ensuite au parking.

L'itinéraire ne présentait aucune difficulté, avec un dénivelé positif de 282 mètres et une distance de 8,7 kilomètres ; Il retiendra surtout la première partie de cette balade, beaucoup plus intéressante car en terrain sauvage.

D’autres groupes se sont éparpillés en passant par le refuge de la Plate et la Porte de Crolles.

Les raquetteurs en ont plein les yeux et un peu aussi dans les jambes

Les fondeurs se régalent avec une neige bien glissante sur des parcours sans grande difficulté. Les pistes sont bien tracées et les montées alternes régulièrement avec des descentes qui permettent de vite reprendre son souffle. Certains, en pleine forme, feront 24 Km sur des pistes qui mènent au refuge de la Plate, aux portes de Crolles et à la Grande Teppe. Il y en a pour tous avec des bleues, des vertes des rouges et des noires.

Le ciel voilé laissait des éclaircies et cela a permis de pique-niquer dehors au soleil.

La glisse est bonne et la température optimale

Au retour, arrivée à la Ravoire, le car N° 1 rencontre un petit souci électrique qui va obliger le chauffeur à aller en chercher un autre à Chambéry pour terminer le voyage. Ce retard d'un peu plus d'une heure se passera dans la bonne humeur mais obligera à transférer le matériel d'un car à l'autre grâce à une chaîne humaine bien sympathique.

Encore un peu d'exercice avant de repartir